Partenaires2017
Le festival Sciences en Bobines a bénéficié en 2017 du soutien financier de :
Créée en 1982 par l’exécutrice testamentaire de Charles Léopold Mayer, Madeleine Calame, à partir du patrimoine légué par celui-ci, elle est placée sous l’autorité de surveillance du Canton de Vaud.
Son but statutaire est de « financer, par l’octroi de dons ou de prêts des recherches et actions qui concourent, de manière significative et innovante, au progrès des hommes par la science et le développement social ».
Elle veut contribuer à l’émergence d’une communauté mondiale et intervient dans les champs de la gouvernance, de l’éthique et des modes de vie durables.
En partenariat avec :
Il n’existait pas de site d’information et de réflexion associant penseurs, journalistes et citoyens, dont les contenus éditoriaux seraient entièrement consacrés au décryptage des controverses scientifiques contemporaines et, plus généralement, à la compréhension du « monde des sciences ».
Nous nous positionnons en tant que méta-média, désireux, non pas de participer à la compétition médiatique, mais d’offrir, aux passionné-e-s des sciences comme aux curieux-ses, des clés et des repères au travers de contenus originaux et de référence (tribunes libres, enquêtes, dossiers, grands entretiens…).
Convaincu-e-s que l’élaboration d’une information de qualité nécessite du temps, nous nous inscrivons pleinement dans une démarche de « journalisme lent » (Slow Journalism), la seule façon, selon nous, de renouer avec les lettres de noblesse du journalisme.
> Ecologie
Pour nous, ce sont les relations harmonieuses et respectueuses des humains entre eux (social) et avec la nature (environnement).
> Alternatives
Dans S!lence, la parole est donnée à celles et ceux qui expérimentent des modes de vie écologiques, non-violents.
> Non-violence
Le rejet des dominations et des violences…mais sans passivité est pour nous une bonne base politique.
Et le soutien des organisations suivantes :
Créée après le sommet de la Terre de Rio de 1992, 4D construit un savoir et une expertise sur le développement durable et contribue à faire connaître ses enjeux, vitaux pour le 21e siècle. Elle développe son activité à l’international, comme au niveau national et local. Elle partage, avec son réseau, une vision du développement durable soucieuse de l’héritage à léguer aux générations futures. Pleinement conscients des risques d’irréversibilité et de l’impératif de solidarité, elle œuvre pour la réduction des inégalités et la mise en place d’une gouvernance globale. Elle œuvre pour un développement compatible avec la préservation des ressources de la planète, accordant une large place à l’initiative des territoires, proposant aux individus et aux sociétés d’autres formes d’épanouissement et un enrichissement des pratiques démocratiques.
L’ACRO a pour missions principales de connaître et faire connaître les niveaux de radioactivité dans l’environnement afin que l’impact en soit réduit sur l’homme et les écosystèmes et de favoriser la démocratie participative dans la prise de décision concernant les choix technologiques et scientifiques dans le domaine du nucléaire.
Dans ce but, l’ACRO effectue des études et analyses pour son propre compte mais aussi pour des tiers. Cette charte a pour but de préciser les conditions dans lesquelles des demandes émanant de tiers peuvent être acceptées.
L’Association des Étudiants en Informatique de l’université Paris 6 (AEIP6) a été créée en 2005 par des étudiants en informatique à l’Université Pierre et Marie Curie (UPMC, Paris 6).
C’est une association à but non lucratif qui vise à améliorer la qualité d’étude des étudiants. Elle est officiellement reconnue comme association étudiante de l’UPMC.
S’engager en direct avec des producteurs locaux.
Manger sain, savoureux et sûr.
Préserver l’environnent.
Créer un lien de proximité.
S’impliquer dans une association.
Le Monde diplomatique n’est pas la propriété d’un homme d’affaires ; il ne se plie pas au conformisme idéologique ambiant ; il ne pratique pas le journalisme de racolage ; il ne dépend pas de ses recettes publicitaires ; il ne brade pas le prix de ses abonnements. Et il tient bon, en dépit des difficultés de la presse écrite (concurrence d’Internet, raréfaction des points de vente, augmentation du prix du papier).
Une telle singularité, le mensuel les doit en partie à l’Association des Amis du Monde diplomatique (AMD), créée en 1996. Cette structure composée de lecteurs militant pour l’indépendance économique du journal, dont dépendent à la fois sa liberté et sa qualité rédactionnelle, détient 25 % du capital de la société éditrice du mensuel. L’association Gunter Holzmann, qui regroupe les personnels du « Diplo », possède quant à elle 24 % des actions de l’entreprise.
Mais les AMD, c’est aussi un réseau de lecteurs, animé par des correspondants en France et à l’étranger. Chaque année, ce réseau organise des centaines de débats, de conférences, de cercles de lecture autour des thématiques du mensuel.
Convaincu que la conduite de projets associatifs permet d’exercer sa citoyenneté au quotidien, Animafac donne aux associations étudiantes les moyens de poursuivre leurs actions. Multiplier les opportunités d’intervention des jeunes, et en particulier des étudiants, dans l’espace public répond à une triple ambition :
– Encourager un esprit de participation
– Renouveler et renforcer l’esprit démocratique
– Créer des passerelles entre le monde étudiant et le reste de la société.
Lancé en décembre 2014 et ouvert à tous, l’Atelier Citoyen a été créé pour travailler sur les alternatives au projet de Notre-Dame-des-Landes et notamment les possibilités de réaménagement de l’aéroport de Nantes-Atlantique. Il publie en 2015 un grand nombre de ses travaux sur les thèmes suivants : l’aérogare, la piste, la circulation et les trajectoires aériennes, l’économie et les emplois, la finance, le bruit, les transports en commun, l’urbanisme.
Les recherches de l’Atelier Citoyen ont permis de découvrir de nombreuses « vérités qui dérangent » car Nantes-Atlantique avait jusqu’à présent été très peu et très mal étudié.
Attac se mobilise contre l’hégémonie de la finance et la marchandisation du monde ; pour la prise de pouvoir par les citoyen.ne.s sur leur vie, la construction d’une démocratie active et pour la construction de convergences entre mouvements sociaux, au sein du mouvement altermondialiste.
Il existe des alternatives, pour une transition vers une société solidaire et respectueuse de la nature. Nous ne sommes pas condamné.e.s à subir les ravages de cette mondialisation et le cynisme des élites.
Le cinéma est à la fois témoin et matériau d’Histoire. Il participe, comme l’écrit, à des modes de représentations du monde. Il utilise un langage, celui de l’image et du son, qui tour à tour reflète et influence ces mouvements.
Comment faire connaître ce patrimoine culturel, comment lui permettre de nourrir nos interrogations multiples face aux difficiles changements actuels, comment le mettre à disposition de tous ?
L’Association Autour du 1er mai a un double objectif :
1/ Proposer une base de données de films sur la société et ses questionnements
2/ Mettre en œuvre, tous les ans à Tulle et autour de Tulle, autour du 1er mai, une décade de cinéma, écho de la base cinématographique
L’AVICENN ne cherche pas à s’inscrire dans le débat comme le contempteur ou le défenseur des nanos, mais plus prosaïquement, comme le “poil à gratter” qui défend le droit de tout citoyen à être informé afin de pouvoir prendre part aux débats et décisions.
“Cette association a pour objet, en dehors de toute option politique, idéologique ou religieuse, l’étude et la protection de la nature et de l’Environnement, la coordination et la promotion des actions de ses adhérents, l’entreprise de toute action, seule ou au côté de ses adhérents, y compris en justice, pour protéger la nature et l’environnement
Indépendante de l’Etat, des exploitants du nucléaire et de tout parti politique, la CRIIRAD existe grâce au soutien moral et financier de quelques milliers d’adhérents.
Elle mène ses propres investigations, informe le public et les médias. Si nécessaire, elle interpelle les responsables et les pouvoirs publics, engage des actions en justice et contribue ainsi à faire évoluer la règlementation en vigueur.
L’association « Entraide aux Malades de la Myofasciite à Macrophages » (E3M) a été créée en mai 2001. Elle regroupe des personnes atteintes de Myofasciite à Macrophages (pathologie induite par l’aluminium utilisé comme adjuvant dans les vaccins) ainsi que des membres de leurs familles. E3M ne s’oppose pas au principe même de la vaccination, mais se mobilise pour l’utilisation de vaccins sans aluminium.
E3M a été lancée par un groupe de malades dont Christelle Dupont (première Présidente), Patricia Baslé qui lui succédera (et son mari Georges), Didier Douchet (auteur du premier site sur la myofasciite à macrophages). Sophie Chevry a présidé l’association de 2009 à 2012, Didier Lambert lui succédant alors jusqu’à ce jour.
Eco-Pertica est un centre de sensibilisation et de formation à l’éco-construction et plus généralement à l’éco-vivre (habitat, déplacements, loisirs, alimentation…). Eco-Pertica fédère les compétences locales en la matière et représente aujourd’hui un réseau de près de quatre-vingt sociétaires, entouré de 250 à 300 sympathisants. Nos objectifs sont les suivants :
– Promouvoir et développer l’éco-construction accessible à tous;
– Informer le plus grand nombre sur les solutions concrètes et performantes pour un habitat sain, confortable, et économique;
– Fédérer l’ensemble des compétences et des acteurs de l’éco-habitat et plus largement de l’éco-vivre dans le Perche pour mutualiser les savoirs, les connaissances et les bonnes adresses de chacun ;
– Développer des filières locales de production et de commercialisation en circuits courts d’écomatériaux (chanvre, terre crue et liège).
L’union faisant la force, le collectif des électrosensibles de France, créé en 2008 pour la défense des personnes victimes d’hypersensibilité électromagnétique, a intégré l’association en 2014.
aide aux enfants dans les régions du Bélarus contaminées à la suite de la catastrophe de Tchernobyl ;
aide à la recherche indépendante liée à la catastrophe de Tchernobyl ;
diffusion d’information sur les conséquences de la catastrophe de Tchernobyl ;
collaboration avec des organisations d’autres pays ayant les mêmes objectifs.Cette association encourage le parrainage de communes ou d’écoles des régions sinistrées, par des communes ou des écoles françaises.
Leur super pouvoir ? L’Eco-Orgasme, une manière ludique et décalée d’expliquer aux jeunes comment “se faire du bien, sans se faire de mal”, notamment au travers de conférences théâtres dans les campus et lycées.
– les conséquences négatives de l’agriculture ou de toute autre activité humaine utilisant les produits phytosanitaires et les engrais de synthèse ;
– les conséquences négatives de l’agriculture ayant recours à l’utilisation d’Organismes Génétiquement Modifiés;
– les risques de certaines formes de conservation des aliments par irradiation;
les dangers liés aux autres substances chimiques ;
– la production excessive de déchets ;
– et tout autre domaine entrant dans les problématiques environnement/santé.
[…]
De même, l’Association organise les citoyens, notamment consommateurs et usagers, à se prémunir contre le choix irréfléchi de technologies et combinaisons de techniques utilisées dans les systèmes de production qui polluent les ressources vitales « air‑eau‑sol‑biocénoses » et dégradent les milieux de vie. En cela, elle accompagne les personnes physiques ou morales, victimes ou représentants des victimes de préjudices sanitaires en lien avec la dégradation de l’environnement, y compris en justice.
Sa mission est de favoriser et de nourrir le débat démocratique par une information critique, indépendante et accessible à tout public. Inf’OGM se donne l’objectif d’œuvrer pour une véritable transparence du débat OGM.
Cette conviction, ainsi que notre prise de conscience des interdépendances mondiales, ont été renforcées par nos vingt ans d’expérience de terrain. Elles nous incitent à poser le problème des dépendances génératrices d’inégalités au niveau international. En effet, ces dernières représentent selon nous un danger majeur pour le développement durable de l’Homme et de la planète.
L’association articule son travail sur 3 axes complémentaires :
• Rendre compte de la réalité des pratiques les plus répandues, les faire évoluer ou disparaître par des campagnes d’information et de sensibilisation. Repérer et tenter de faire sanctionner les pratiques illégales par des actions en justice.
• Démontrer l’impact négatif de la consommation de produits animaux (terrestres ou aquatiques) et proposer des alternatives.
• Nourrir le débat public sur la condition animale, soulever la question du spécisme, revendiquer l’arrêt de la consommation des animaux et des autres pratiques qui leur nuisent.
Extrait de l’édito de la présidente Françoise Caubin (2015) : Dans le climat tourmenté du monde contemporain, et d’une France meurtrie par des actes barbares, dans un environnement incertain, notre MJC, ses salariés, ses bénévoles, travaillent d’arrache pied pour poursuivre et consolider ses missions.
Le brassage social et culturel, la mixité filles garçons, la rencontre intergénérationnelle, la conviction citoyenne, voilà ce qui cimente notre action.
Le Mouvement Utopia soutient depuis sa création en 2000 la déconstruction des aliénations de nos sociétés : le dogme de la croissance comme solution à nos maux économiques, la croyance en la consommation comme seul critère d’épanouissement individuel, la centralité de la valeur travail comme seul mode d’organisation de la vie sociale.
Le Mouvement Utopia a pour objectif premier l’élaboration collective d’un grand projet de société. Nous co-construisons ce projet en établissant des ponts entre la société civile, les mondes politique, académique, culturel et les citoyen-ne-s engagé-e-s.
Lorsque les fondateurs de Peuple et Culture descendent des plateaux du Vercors ou sortent des camps de concentration, ils sont héritiers d’une histoire : celle du Siècle des Lumières et de la République française.Une constante : l’accès aux savoirs et à la culture pour tou-t-es tout au long de sa vie
Peuple et Culture développe des démarches d’éducation populaire, favorisant l’éducation critique, l’autonomie, l’ouverture culturelle et interculturelle, la transmission des savoirs, le goût de l’expression et de l’action collective, de la créativité et du vivre ensemble.
De l’innovation numérique à l’innovation sociale, PiNG cultive le croisement des publics tout en défendant les valeurs de la culture libre.
Parce que les technologies évoluent vite, mais plus encore les pratiques des utilisateurs, PiNG développe des projets et des espaces où il est possible d’expérimenter de nouveaux modes de faire, des pratiques collectives, des contextes d’apprentissage alternatifs… une sorte de « laboratoire citoyen » ouvert et partagé s’adressant aussi bien aux acteurs associatifs qu’aux acteurs publics, à la communauté créative des artistes, designers, bricoleurs du XXIème siècle, au monde de l’éducation et de la recherche.
Outre la coordination et la consolidation des initiatives locales, le Réseau Semences Paysannes travaille à la promotion de modes de gestion collectifs et de protection des semences paysannes, ainsi qu’à la reconnaissance scientifique et juridique des pratiques paysannes de production et d’échange de semences et de plants.
Robin des Toits ne milite pas contre la téléphonie mobile. Ses initiatives et mises en garde ne procèdent pas d’une “phobie” ni d’une “inquiétude” mais au contraire de connaissances éclairées sur la toxicité de la téléphonie mobile dans ses conditions techniques actuelles.
Elle observe, en effet, qu’un grand nombre de scientifiques, indépendants de l’industrie, comme le Bioinitiative Working Group, établit la toxicité des émissions de “Type Téléphonie Mobile” : c’est à dire le téléphone portable et les antennes relais (GSM, UMTS – 3G) ainsi que le Wifi, le Bluetooth et le téléphone sans fil DECT. Elle se base sur ces expertises pour obtenir au niveau gouvernemental un seuil contrôlé d’exposition maximal (et non moyen) du public de 0,6V/m, préconisé par ces scientifiques indépendants, seuil au delà duquel les risques sanitaires ont été démontrés.
Santé-Environnement en Rhône-Alpes a pour but de mener des actions en santé-environnement, créer des synergies, mieux connaître, mieux informer, mieux prévenir des…
Pollutions industrielles, pollutions des sols, pollution de l’eau, qualité de l’air intérieur et extérieur, alimentation, nano produits, rayonnements électromagnétiques, téléphonie mobile, numérique,… autant de thèmes que nous essayons de suivre, afin de mieux comprendre les liens entre l’environnement dans lequel nous vivons et les effets possibles sur notre santé.
Défense des revendications et transformation sociale, Indépendance, Démocratie, Construire le meilleur rapport de force, Tous ensemble, Une autre Europe, Solidarité.
Texte complet : http://www.sud-recherche.org/SPIPprod/IMG/pdf/Synd06NosValeurs.pdf
L’union syndicale Solidaires (à laquelle adhère notre syndicat SUD Recherche EPST) a défini le sens de son action syndicale à travers cette charte des valeurs, qui constitue le préambule de ses statuts, adoptés lors de son congrès constitutif en janvier 1998.
L’objectif principal de notre association est de créer un réseau d’étudiants en Sciences du Vivant à l’UPMC pour promouvoir notre sujet d’étude: la biologie, en favorisant la communication dans ce domaine scientifique. Nous souhaitons améliorer et simplifier la vie universitaire des étudiants en biologie tout au long de leur cursus
Sa mission principale est de contribuer au rayonnement d’artistes, de créations et de projets artistiques issus de la Fédération Wallonie-Bruxelles, par la promotion et la diffusion des œuvres et des artistes.
Il est géré par une association sans but lucratif composée de professionnels des arts et de la culture et financée principalement par Wallonie Bruxelles International, l’administration des relations internationales de la Fédération Wallonie-Bruxelles
• Un lieu de débats, d’échanges, de réflexi on et de confrontation d’idées portant sur la culture, l’histoire du mouvement ouvrier, les organisations, les grandes questions économiques et sociales… mais aussi l’actualité, les problèmes de société, les réponses alternatives…
• Un lieu de formation et d’information citoyenne pour donner à tous les citoyens des informations , des connaissances nécessaires à une compréhension active, démocratique, et permettre à ceux qui le veulent d’acquérir les connaissances utiles pour l’activité sociale dans laquelle ils sont engagés (apprentissage du fonctionnement associatif, connaissance du fonctionnement des groupes, rédaction de tracts, d’affiches, d’articles…).
• Un lieu d’échanges culturels.
Le rôle de Vecam est de donner aux citoyens les moyens de s’interroger, comprendre, débattre et s’approprier ces transformations. Plus que la maîtrise technique des outils numériques, c’est au décryptage politique et social que l’association tente de contribuer. Vecam entend également faciliter les usages développés par et pour les associations, les mouvements citoyens ou les individus.
Si votre organisation souhaite soutenir le festival d’une façon ou d’une autre, merci de consulter la page dédiée
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