Partenaires
Partenaires
Le festival Sciences en Bobines a bénéficié en 2019 du soutien financier de :
Créée en 1982 par l’exécutrice testamentaire de Charles Léopold Mayer, Madeleine Calame, à partir du patrimoine légué par celui-ci, elle est placée sous l’autorité de surveillance du Canton de Vaud.
Son but statutaire est de « financer, par l’octroi de dons ou de prêts des recherches et actions qui concourent, de manière significative et innovante, au progrès des hommes par la science et le développement social ».
Elle veut contribuer à l’émergence d’une communauté mondiale et intervient dans les champs de la gouvernance, de l’éthique et des modes de vie durables.
En partenariat avec :
Il n’existait pas de site d’information et de réflexion associant penseurs, journalistes et citoyens, dont les contenus éditoriaux seraient entièrement consacrés au décryptage des controverses scientifiques contemporaines et, plus généralement, à la compréhension du « monde des sciences ».
Nous nous positionnons en tant que méta-média, désireux, non pas de participer à la compétition médiatique, mais d’offrir, aux passionné-e-s des sciences comme aux curieux-ses, des clés et des repères au travers de contenus originaux et de référence (tribunes libres, enquêtes, dossiers, grands entretiens…).
Convaincu-e-s que l’élaboration d’une information de qualité nécessite du temps, nous nous inscrivons pleinement dans une démarche de « journalisme lent » (Slow Journalism), la seule façon, selon nous, de renouer avec les lettres de noblesse du journalisme.
> Ecologie
Pour nous, ce sont les relations harmonieuses et respectueuses des humains entre eux (social) et avec la nature (environnement).
> Alternatives
Dans S!lence, la parole est donnée à celles et ceux qui expérimentent des modes de vie écologiques, non-violents.
> Non-violence
Le rejet des dominations et des violences…mais sans passivité est pour nous une bonne base politique.
Partenaires2018
Le festival Sciences en Bobines a bénéficié en 2018 du soutien financier de :
Créée en 1982 par l’exécutrice testamentaire de Charles Léopold Mayer, Madeleine Calame, à partir du patrimoine légué par celui-ci, elle est placée sous l’autorité de surveillance du Canton de Vaud.
Son but statutaire est de « financer, par l’octroi de dons ou de prêts des recherches et actions qui concourent, de manière significative et innovante, au progrès des hommes par la science et le développement social ».
Elle veut contribuer à l’émergence d’une communauté mondiale et intervient dans les champs de la gouvernance, de l’éthique et des modes de vie durables.
En partenariat avec :
Il n’existait pas de site d’information et de réflexion associant penseurs, journalistes et citoyens, dont les contenus éditoriaux seraient entièrement consacrés au décryptage des controverses scientifiques contemporaines et, plus généralement, à la compréhension du « monde des sciences ».
Nous nous positionnons en tant que méta-média, désireux, non pas de participer à la compétition médiatique, mais d’offrir, aux passionné-e-s des sciences comme aux curieux-ses, des clés et des repères au travers de contenus originaux et de référence (tribunes libres, enquêtes, dossiers, grands entretiens…).
Convaincu-e-s que l’élaboration d’une information de qualité nécessite du temps, nous nous inscrivons pleinement dans une démarche de « journalisme lent » (Slow Journalism), la seule façon, selon nous, de renouer avec les lettres de noblesse du journalisme.
> Ecologie
Pour nous, ce sont les relations harmonieuses et respectueuses des humains entre eux (social) et avec la nature (environnement).
> Alternatives
Dans S!lence, la parole est donnée à celles et ceux qui expérimentent des modes de vie écologiques, non-violents.
> Non-violence
Le rejet des dominations et des violences…mais sans passivité est pour nous une bonne base politique.
Partenaires2017
Le festival Sciences en Bobines a bénéficié en 2017 du soutien financier de :
Créée en 1982 par l’exécutrice testamentaire de Charles Léopold Mayer, Madeleine Calame, à partir du patrimoine légué par celui-ci, elle est placée sous l’autorité de surveillance du Canton de Vaud.
Son but statutaire est de « financer, par l’octroi de dons ou de prêts des recherches et actions qui concourent, de manière significative et innovante, au progrès des hommes par la science et le développement social ».
Elle veut contribuer à l’émergence d’une communauté mondiale et intervient dans les champs de la gouvernance, de l’éthique et des modes de vie durables.
En partenariat avec :
Il n’existait pas de site d’information et de réflexion associant penseurs, journalistes et citoyens, dont les contenus éditoriaux seraient entièrement consacrés au décryptage des controverses scientifiques contemporaines et, plus généralement, à la compréhension du « monde des sciences ».
Nous nous positionnons en tant que méta-média, désireux, non pas de participer à la compétition médiatique, mais d’offrir, aux passionné-e-s des sciences comme aux curieux-ses, des clés et des repères au travers de contenus originaux et de référence (tribunes libres, enquêtes, dossiers, grands entretiens…).
Convaincu-e-s que l’élaboration d’une information de qualité nécessite du temps, nous nous inscrivons pleinement dans une démarche de « journalisme lent » (Slow Journalism), la seule façon, selon nous, de renouer avec les lettres de noblesse du journalisme.
> Ecologie
Pour nous, ce sont les relations harmonieuses et respectueuses des humains entre eux (social) et avec la nature (environnement).
> Alternatives
Dans S!lence, la parole est donnée à celles et ceux qui expérimentent des modes de vie écologiques, non-violents.
> Non-violence
Le rejet des dominations et des violences…mais sans passivité est pour nous une bonne base politique.
Partenaires2016
Le festival “Sciences en Bobines” bénéficie pour 2016 du soutien financier de :
Créée en 1982 par l’exécutrice testamentaire de Charles Léopold Mayer, Madeleine Calame, à partir du patrimoine légué par celui-ci, elle est placée sous l’autorité de surveillance du Canton de Vaud.
Son but statutaire est de « financer, par l’octroi de dons ou de prêts des recherches et actions qui concourent, de manière significative et innovante, au progrès des hommes par la science et le développement social ».
Elle veut contribuer à l’émergence d’une communauté mondiale et intervient dans les champs de la gouvernance, de l’éthique et des modes de vie durables.
En partenariat avec :
Il n’existait pas de site d’information et de réflexion associant penseurs, journalistes et citoyens, dont les contenus éditoriaux seraient entièrement consacrés au décryptage des controverses scientifiques contemporaines et, plus généralement, à la compréhension du « monde des sciences ».
Nous nous positionnons en tant que méta-média, désireux, non pas de participer à la compétition médiatique, mais d’offrir, aux passionné-e-s des sciences comme aux curieux-ses, des clés et des repères au travers de contenus originaux et de référence (tribunes libres, enquêtes, dossiers, grands entretiens…).
Convaincu-e-s que l’élaboration d’une information de qualité nécessite du temps, nous nous inscrivons pleinement dans une démarche de « journalisme lent » (Slow Journalism), la seule façon, selon nous, de renouer avec les lettres de noblesse du journalisme.
Partenaires2015
Le festival “Sciences en Bobines” bénéficie pour 2015 du soutien financier de :
Créée en 1982 par l’exécutrice testamentaire de Charles Léopold Mayer, Madeleine Calame, à partir du patrimoine légué par celui-ci, elle est placée sous l’autorité de surveillance du Canton de Vaud.
Son but statutaire est de « financer, par l’octroi de dons ou de prêts des recherches et actions qui concourent, de manière significative et innovante, au progrès des hommes par la science et le développement social ».
Elle veut contribuer à l’émergence d’une communauté mondiale et intervient dans les champs de la gouvernance, de l’éthique et des modes de vie durables.
En partenariat avec :
Il est né de la volonté de quatre journalistes: François Bonnet, Gérard Desportes, Laurent Mauduit et Edwy Plenel.
Les deux autres fondateurs sont Marie-Hélène Smiéjan et Godefroy Beauvallet.
Il n’existait pas de site d’information et de réflexion associant penseurs, journalistes et citoyens, dont les contenus éditoriaux seraient entièrement consacrés au décryptage des controverses scientifiques contemporaines et, plus généralement, à la compréhension du « monde des sciences ».
Nous nous positionnons en tant que méta-média, désireux, non pas de participer à la compétition médiatique, mais d’offrir, aux passionné-e-s des sciences comme aux curieux-ses, des clés et des repères au travers de contenus originaux et de référence (tribunes libres, enquêtes, dossiers, grands entretiens…).
Convaincu-e-s que l’élaboration d’une information de qualité nécessite du temps, nous nous inscrivons pleinement dans une démarche de « journalisme lent » (Slow Journalism), la seule façon, selon nous, de renouer avec les lettres de noblesse du journalisme.
> Ecologie
Pour nous, ce sont les relations harmonieuses et respectueuses des humains entre eux (social) et avec la nature (environnement).
> Alternatives
Dans S!lence, la parole est donnée à celles et ceux qui expérimentent des modes de vie écologiques, non-violents.
> Non-violence
Le rejet des dominations et des violences…mais sans passivité est pour nous une bonne base politique.
Partenaires2014
Le festival “Sciences en Bobines” bénéficie pour 2014 du soutien financier de :
Créée en 1982 par l’exécutrice testamentaire de Charles Léopold Mayer, Madeleine Calame, à partir du patrimoine légué par celui-ci, elle est placée sous l’autorité de surveillance du Canton de Vaud.
Son but statutaire est de « financer, par l’octroi de dons ou de prêts des recherches et actions qui concourent, de manière significative et innovante, au progrès des hommes par la science et le développement social ».
Elle veut contribuer à l’émergence d’une communauté mondiale et intervient dans les champs de la gouvernance, de l’éthique et des modes de vie durables.
En partenariat avec :
Créée après le sommet de la Terre de Rio de 1992, 4D construit un savoir et une expertise sur le développement durable et contribue à faire connaître ses enjeux, vitaux pour le 21e siècle. Elle développe son activité à l’international, comme au niveau national et local. Elle partage, avec son réseau, une vision du développement durable soucieuse de l’héritage à léguer aux générations futures. Pleinement conscients des risques d’irréversibilité et de l’impératif de solidarité, elle œuvre pour la réduction des inégalités et la mise en place d’une gouvernance globale. Elle œuvre pour un développement compatible avec la préservation des ressources de la planète, accordant une large place à l’initiative des territoires, proposant aux individus et aux sociétés d’autres formes d’épanouissement et un enrichissement des pratiques démocratiques.
L’ACRO a pour missions principales de connaître et faire connaître les niveaux de radioactivité dans l’environnement afin que l’impact en soit réduit sur l’homme et les écosystèmes et de favoriser la démocratie participative dans la prise de décision concernant les choix technologiques et scientifiques dans le domaine du nucléaire.
Dans ce but, l’ACRO effectue des études et analyses pour son propre compte mais aussi pour des tiers. Cette charte a pour but de préciser les conditions dans lesquelles des demandes émanant de tiers peuvent être acceptées.
> faciliter la production de connaissances scientifiques à partir de et au bénéfice de la demande sociale en suscitant et permettant la réalisation de projets de recherche indépendants, répondant aux préoccupations de la société civile ;
> diffuser ensuite les résultats de ces projets de recherche ou études scientifiques en garantissant un accès libre et gratuit, en facilitant leur compréhension auprès du public.
Basée à Grenoble, l’association est animée depuis juin 2013 par le collectif d’éducation populaire Contrevent. L’objet de nos activités : accompagner des groupes et projets sur des actions de transformation sociale, en mettant à leur service les savoirs universitaires et les savoir-faire de l’éducation populaire.
Le Monde diplomatique n’est pas la propriété d’un homme d’affaires ; il ne se plie pas au conformisme idéologique ambiant ; il ne pratique pas le journalisme de racolage ; il ne dépend pas de ses recettes publicitaires ; il ne brade pas le prix de ses abonnements. Et il tient bon, en dépit des difficultés de la presse écrite (concurrence d’Internet, raréfaction des points de vente, augmentation du prix du papier).
Une telle singularité, le mensuel les doit en partie à l’Association des Amis du Monde diplomatique (AMD), créée en 1996. Cette structure composée de lecteurs militant pour l’indépendance économique du journal, dont dépendent à la fois sa liberté et sa qualité rédactionnelle, détient 25 % du capital de la société éditrice du mensuel. L’association Gunter Holzmann, qui regroupe les personnels du « Diplo », possède quant à elle 24 % des actions de l’entreprise.
Mais les AMD, c’est aussi un réseau de lecteurs, animé par des correspondants en France et à l’étranger. Chaque année, ce réseau organise des centaines de débats, de conférences, de cercles de lecture autour des thématiques du mensuel.
Convaincu que la conduite de projets associatifs permet d’exercer sa citoyenneté au quotidien, Animafac donne aux associations étudiantes les moyens de poursuivre leurs actions. Multiplier les opportunités d’intervention des jeunes, et en particulier des étudiants, dans l’espace public répond à une triple ambition :
– Encourager un esprit de participation
– Renouveler et renforcer l’esprit démocratique
– Créer des passerelles entre le monde étudiant et le reste de la société.
Le cinéma est à la fois témoin et matériau d’Histoire. Il participe, comme l’écrit, à des modes de représentations du monde. Il utilise un langage, celui de l’image et du son, qui tour à tour reflète et influence ces mouvements.
Comment faire connaître ce patrimoine culturel, comment lui permettre de nourrir nos interrogations multiples face aux difficiles changements actuels, comment le mettre à disposition de tous ?
L’Association Autour du 1er mai a un double objectif :
1/ Proposer une base de données de films sur la société et ses questionnements
2/ Mettre en œuvre, tous les ans à Tulle et autour de Tulle, autour du 1er mai, une décade de cinéma, écho de la base cinématographique
L’AVICENN ne cherche pas à s’inscrire dans le débat comme le contempteur ou le défenseur des nanos, mais plus prosaïquement, comme le “poil à gratter” qui défend le droit de tout citoyen à être informé afin de pouvoir prendre part aux débats et décisions.
Cet éco-territoire composé de 600 hectares de forêt et de terres cultivées en agriculture biologique constitue un laboratoire grandeur nature pour des activités d’expérimentation, de formation et de découverte autour du développement durable.
Lieu unique de dialogue sur les défis de demain, la Bergerie vous propose une offre complète d’hébergement, de séminaire et de restauration bio, au sein de l’ancien corps de ferme de la Bergerie qui a été entièrement rénové écologiquement et dans le respect du patrimoine architectural local.
En général, ces ondes sont associées aux technologies sans fil, aux antennes-relais et parfois aux appareils électriques (50Hz). Les personnes électrosensibles subissent une pollution quotidienne insidieuse qui peut rapidement transformer leur vie en un véritable enfer…
Cette maladie environnementale (ou handicap) a de lourde conséquence sur la qualité de vie des personnes qui en sont atteintes. (Isolement, chômage, dépression, suicide…)
En France, même si l’existence des troubles a été reconnu par le Grenelle des ondes en 2009, aucune des actions de prise en charge adéquate ni d’information pertinente du corps médical n’ont été entreprise.
Les combats individuels de chacun sont insignifiants face au lobbying des industriels du sans fils. Afin de nous faire entendre par nos institutions, nous devons nous rassembler au sein d’associations représentatives et crédibles…
– les conséquences négatives de l’agriculture ou de toute autre activité humaine utilisant les produits phytosanitaires et les engrais de synthèse ;
– les conséquences négatives de l’agriculture ayant recours à l’utilisation d’Organismes Génétiquement Modifiés;
– les risques de certaines formes de conservation des aliments par irradiation;
les dangers liés aux autres substances chimiques ;
– la production excessive de déchets ;
– et tout autre domaine entrant dans les problématiques environnement/santé.
[…]
De même, l’Association organise les citoyens, notamment consommateurs et usagers, à se prémunir contre le choix irréfléchi de technologies et combinaisons de techniques utilisées dans les systèmes de production qui polluent les ressources vitales « air‑eau‑sol‑biocénoses » et dégradent les milieux de vie. En cela, elle accompagne les personnes physiques ou morales, victimes ou représentants des victimes de préjudices sanitaires en lien avec la dégradation de l’environnement, y compris en justice.
Greenpeace est une organisation indépendante des Etats, des pouvoirs politiques et économiques. Greenpeace n’est soutenu par aucun parti et n’en soutient aucun. Cependant, Greenpeace intervient dans le débat politique et a des relations avec les représentants du monde politique. Mais ces contacts sont limités par des règles d’éthique propres à l’organisation.
L’indépendance de Greenpeace est aussi financière. Nous refusons toute contribution provenant d’entreprises et toute subvention publique. Cette indépendance structurelle est le gage de notre liberté de parole et d’action, en tous lieux et en toutes circonstances.
Greenpeace est une organisation non-violente. De sa première action à aujourd’hui, Greenpeace a toujours été guidée par la même volonté de témoigner par l’action directe et non-violente. En effet, nous sommes convaincus que les individus peuvent empêcher pacifiquement que des atteintes soient portées à l’environnement, même quand elles sont le fait des plus puissants intérêts.
Greenpeace a pour but de dénoncer les atteintes à l’environnement et d’apporter des solutions qui contribuent à la protection de l’environnement et à la promotion de la paix. La mission essentielle de Greenpeace est de travailler par rapport à des enjeux globaux (climat, énergie, biodiversité, etc.) qui peuvent avoir un impact direct ou indirect pour chaque habitant de notre planète.
Inf’OGM produit et diffuse une information critique et indépendante et se donne l’objectif d’œuvrer pour une véritable transparence.
La mission d’Inf’OGM s’inscrit dans un débat éthique et écologique global. Les OGM sont un exemple parmi de nombreux autres choix technologiques actuels, qui doivent pouvoir être débattus démocratiquement. Pour que la possibilité de produire et de consommer sans OGM puisse être un véritable choix citoyen.
La structure est née de quatre personnes, dont notre vénérable président aujourd’hui décédé, qui regrettaient que bon nombre de films, issus notamment de productions indépendantes, donc presque invisibles au grand comme au petit écran, ne soient visionnées que par un public très restreint. Que de talents méconnus, d’initiatives ignorées, d’idées originales passées aux oubliettes !
KHEPER organise aussi depuis 2010, et c’est son activité majeure, le Festival des Sciences en Bobines à Trescléoux/Lagrand (05), véritable festival puisqu’il peut se dérouler sur deux à cinq jours à la fin du mois d’août !
Situé sur l’île de Nantes, au niveau du premier anneau de Buren, le hangar 30 a été réhabilité pour l’occasion au cœur du quartier de la création.
À l’initiative de 3 artistes et grâce au soutien de la Région Pays de la Loire, MilleFeuilles est au point de départ du processus de création.
Une plateforme de production complète sera disponible à l’automne 2014 avec un atelier bois et un espace de production de 100m2.
MilleFeuilles ouvre ses portes au public de façon ponctuelle avec des conférences, des expositions flash, des concerts, un festival de performances…
De l’innovation numérique à l’innovation sociale, PiNG cultive le croisement des publics tout en défendant les valeurs de la culture libre.
Parce que les technologies évoluent vite, mais plus encore les pratiques des utilisateurs, PiNG développe des projets et des espaces où il est possible d’expérimenter de nouveaux modes de faire, des pratiques collectives, des contextes d’apprentissage alternatifs… une sorte de « laboratoire citoyen » ouvert et partagé s’adressant aussi bien aux acteurs associatifs qu’aux acteurs publics, à la communauté créative des artistes, designers, bricoleurs du XXIème siècle, au monde de l’éducation et de la recherche.
Elle a élargi son champ de préoccupation en 2004 (J.O. du 03 mars 2004) à l’ensemble des technologies de télécommunications sans fil, téléphones portables, WiFi, Wimax…
La volonté de créer cette radio est née du souci de concevoir et de mettre à disposition des étudiants, des enseignants et de tous ceux qui le souhaitent un outil d’information et de communication moderne par des supports radiodiffusés d’une part et informatisés d’autre part.
Radio Campus Aix est une radio apolitique de jeunes dont l’un des centres d’intérêt principaux est la diversité culturelle. Elle s’adresse à tous les esprits curieux et indépendants et plus particulièrement aux 17-35 ans dont les 70 000 étudiants d’Aix-Marseille Université.
Les connaissances scientifiques mettent de plus en plus en évidence le poids des facteurs environnementaux dans ces maladies. Malgré cela, ces questions sont encore souvent considérées comme marginales.
Le Réseau Environnement Santé s’est créé pour changer ce point de vue et mettre les questions d’environnement et de santé au coeur des politiques publiques. Pour y parvenir, le RES mène des campagnes sur les grandes questions de santé et d’environnement.
Le RES agit pour une meilleure prise en compte des données scientifiques validées et pour la mise en oeuvre du principe de précaution.
Outre la coordination et la consolidation des initiatives locales, le Réseau Semences Paysannes travaille à la promotion de modes de gestion collectifs et de protection des semences paysannes, ainsi qu’à la reconnaissance scientifique et juridique des pratiques paysannes de production et d’échange de semences et de plants.
Son rôle :
réunir toutes les personnes qui souhaitent exprimer leur volonté d’une sortie du nucléaire. En nous rassemblant autour d’une Charte, nous mettons en place un rapport de force pour obtenir des résultats concrets.
Son objectif :
obtenir l’abandon du nucléaire en France grâce à une autre politique énergétique, en favorisant notamment la maîtrise de l’énergie, et le développement d’autres moyens de production électrique.
Robin des Toits ne milite pas contre la téléphonie mobile. Ses initiatives et mises en garde ne procèdent pas d’une “phobie” ni d’une “inquiétude” mais au contraire de connaissances éclairées sur la toxicité de la téléphonie mobile dans ses conditions techniques actuelles.
Elle observe, en effet, qu’un grand nombre de scientifiques, indépendants de l’industrie, comme le Bioinitiative Working Group, établit la toxicité des émissions de “Type Téléphonie Mobile” : c’est à dire le téléphone portable et les antennes relais (GSM, UMTS – 3G) ainsi que le Wifi, le Bluetooth et le téléphone sans fil DECT. Elle se base sur ces expertises pour obtenir au niveau gouvernemental un seuil contrôlé d’exposition maximal (et non moyen) du public de 0,6V/m, préconisé par ces scientifiques indépendants, seuil au delà duquel les risques sanitaires ont été démontrés.
Défense des revendications et transformation sociale, Indépendance, Démocratie, Construire le meilleur rapport de force, Tous ensemble, Une autre Europe, Solidarité.
Texte complet : http://www.sud-recherche.org/SPIPprod/IMG/pdf/Synd06NosValeurs.pdf
L’union syndicale Solidaires (à laquelle adhère notre syndicat SUD Recherche EPST) a défini le sens de son action syndicale à travers cette charte des valeurs, qui constitue le préambule de ses statuts, adoptés lors de son congrès constitutif en janvier 1998.
Pour permettre à des citoyens et des paysans de se mobiliser et d’agir sur le terrain, le mouvement a inventé de nouveaux outils de travail capables d’enrayer la disparition des terres et de faciliter l’accès au foncier agricole pour de nouvelles installations paysannes. Ces outils sont à la portée de tous, de sorte que chacun puisse s’impliquer de façon effective dans l’avenir de nos fermes et de notre agriculture.
Le rôle de Vecam est de donner aux citoyens les moyens de s’interroger, comprendre, débattre et s’approprier ces transformations. Plus que la maîtrise technique des outils numériques, c’est au décryptage politique et social que l’association tente de contribuer. Vecam entend également faciliter les usages développés par et pour les associations, les mouvements citoyens ou les individus.
Si votre organisation souhaite soutenir le festival d’une façon ou d’une autre, merci de consulter la page dédiée
Partenaires2013
Le festival “Sciences en bobines” bénéficie pour 2013 du soutien financier de :
Créée en 1982 par l’exécutrice testamentaire de Charles Léopold Mayer, Madeleine Calame, à partir du patrimoine légué par celui-ci, elle est placée sous l’autorité de surveillance du Canton de Vaud.
Son but statutaire est de « financer, par l’octroi de dons ou de prêts des recherches et actions qui concourent, de manière significative et innovante, au progrès des hommes par la science et le développement social ».
Elle veut contribuer à l’émergence d’une communauté mondiale et intervient dans les champs de la gouvernance, de l’éthique et des modes de vie durables.
En partenariat avec :