Films
Pierre Rabhi, la reconquête du songe
Un film de Marie-Dominique DHELSING, 2011, 52 min
Agriculteur, penseur, écrivain, précurseur de l’agroécologie, Pierre Rabhi fait partie de ces humanistes qui élaborent des utopies réalistes.
Le film part à la rencontre de cet homme et de son parcours singulier, porté par un combat incessant pour l’insurrection des consciences et les valeurs de ce qu’il nomme la ”sobriété heureuse”.
L’Homme qui plantait des arbres
Un film de Frédéric BACK, 2013, 30 min
L’Homme qui plantait des arbres est un film d’animation réalisé par l’illustrateur canadien Frédéric Back pour Radio-Canada en 1987 à partir de la nouvelle du même nom écrite par Jean Giono en 1953.
La guerre des graines
Un film de Stenka QUILLET & Clément MONTFORT, 2014, 52 min
Les graines sont le premier maillon de notre alimentation. Mais dans un avenir très proche, les agriculteurs n’auront peut-être plus le droit de ressemer leurs propres graines. En Europe, une loi tente de contrôler l’utilisation des semences agricoles. Derrière cette confiscation, 5 grands semenciers détiennent déjà la moitié du marché des graines. La résistance paysanne s’organise malicieusement dans les campagnes. De l’Inde à Bruxelles, en passant par la France et la Norvège, enquête sur la guerre des graines, qui menace plus d’un milliard d’agriculteurs et tous les habitants de la planète.
L’aluminium, les vaccins et les 2 lapins
Un film de Marie-Ange POYET, 2016, 90 min
« La vaccination, ça ne se discute pas… » martèle régulièrement la ministre de la Santé, Marisol Touraine.
Pourtant, un millier de malades souffre, en France, de myofasciite à macrophages, une atteinte neuro-musculaire invalidante et très douloureuse provoquée par les sels d’aluminium utilisés comme adjuvants dans les vaccins.
Aussi, puisque les pouvoirs publics refusent obstinément de reconnaître cette maladie, le film donne la parole aux malades, aux chercheurs, aux médecins, aux historiens, journalistes, aux femmes et hommes politiques qui, en France et à l’étranger, se battent pour la reconnaissance de cette maladie.
Une histoire polyphonique et à cappela qui se garde bien des éternelles images prétextes de seringues, de chaînes de fabrication, de vues de laboratoires…, égrenées jusqu’à plus soif dans les films sur la santé. Nous sommes au plus près des femmes et des hommes, dans leurs paroles, leurs regards… La ville, la nature, un couloir derrière la vitre d’une porte de laboratoire d’hôpital sont les seules respirations. Espaces de douleurs, d’espoirs, de questionnement, de doutes, de colère…
Face à eux, « Big Pharma », une industrie puissante dont les tentacules plongent au cœur de toutes les sphères de pouvoir : politique, scientifique, juridique, médiatique…
Nos collègues les robots
Un film de Klaus MARTENS, 2016, 90 min
Fin janvier 2016 à Davos, le Forum économique mondial s’est penché sur le phénomène de la quatrième révolution industrielle et sur les incidences négatives que la robotisation, l’automatisation, la numérisation et l’intelligence artificielle auront sur le marché du travail. Rien qu’en Allemagne, ces innovations menaceraient 18 millions d’emplois. Deux camps sont donc désormais en présence : les optimistes et les pessimistes. Les premiers espèrent la suppression des tâches pénibles et répétitives, une aide précieuse pour les personnes atteintes d’un handicap, des gains de productivité, la valorisation de la créativité. Les seconds redoutent la montée du chômage, la fin du salariat, la paupérisation de la classe moyenne, une surveillance accrue des individus et la prééminence des algorithmes dans les opérations financières.
L’urgence de ralentir-2017
Un film de Philippe BORREL, 2014, 85 min
Aux quatre coins de la planète des citoyens refusent de se soumettre aux diktats de l’urgence et de l’immédiateté, pour redonner sens au temps. En Europe, aux États-Unis, en Amérique Latine ou encore en Inde, Philippe Borrel est allé à la découverte d’initiatives, individuelles et collectives, qui proposent des alternatives basées sur d’autres paradigmes.
“Course suicidaire et inconsciente”, selon Edgar Morin, l’accélération financière et technologique, déconnectée du rythme de l’homme, mène notre système à l’épuisement et vers des catastrophes tout à la fois écologiques, économiques et sociales. Mais alors que des algorithmes accentuent de manière exponentielle la spéculation financière hors de tout contrôle, aux quatre coins de la planète des citoyens refusent de se soumettre aux diktats de l’urgence et de l’immédiateté, pour redonner sens au temps. En Europe, aux États-Unis, en Amérique Latine ou encore en Inde, Philippe Borrel (Un monde sans humains ?) est allé à la découverte de ces initiatives, individuelles et collectives, qui proposent des alternatives basées sur d’autres paradigmes.
Reprendre le contrôle
Au Rajasthan, le Barefoot College fondé par Bunker Roy recrute des femmes de milieux ruraux pour les former à l’ingénierie solaire ; les villes de Romans-sur-Isère et de Bristol ont mis en place une monnaie locale pour résister à la toute-puissance des banques ; à Ithaca, au nord de New York, des coopératives font leur preuve pour relocaliser l’économie… À rebours du “train fou” du modèle dominant, ces alternatives citoyennes, qui rejoignent les analyses de philosophes, sociologues, économistes et scientifiques, pourraient bien être les pionnières du monde de demain. Autant de gestes qui remettent l’homme au cœur du système.
L’urgence de ralentir
Un film de Philippe BORREL, 2014, 85 min
Aux quatre coins de la planète des citoyens refusent de se soumettre aux diktats de l’urgence et de l’immédiateté, pour redonner sens au temps. En Europe, aux États-Unis, en Amérique Latine ou encore en Inde, Philippe Borrel est allé à la découverte d’initiatives, individuelles et collectives, qui proposent des alternatives basées sur d’autres paradigmes.
“Course suicidaire et inconsciente”, selon Edgar Morin, l’accélération financière et technologique, déconnectée du rythme de l’homme, mène notre système à l’épuisement et vers des catastrophes tout à la fois écologiques, économiques et sociales. Mais alors que des algorithmes accentuent de manière exponentielle la spéculation financière hors de tout contrôle, aux quatre coins de la planète des citoyens refusent de se soumettre aux diktats de l’urgence et de l’immédiateté, pour redonner sens au temps. En Europe, aux États-Unis, en Amérique Latine ou encore en Inde, Philippe Borrel (Un monde sans humains ?) est allé à la découverte de ces initiatives, individuelles et collectives, qui proposent des alternatives basées sur d’autres paradigmes.
Reprendre le contrôle
Au Rajasthan, le Barefoot College fondé par Bunker Roy recrute des femmes de milieux ruraux pour les former à l’ingénierie solaire ; les villes de Romans-sur-Isère et de Bristol ont mis en place une monnaie locale pour résister à la toute-puissance des banques ; à Ithaca, au nord de New York, des coopératives font leur preuve pour relocaliser l’économie… À rebours du “train fou” du modèle dominant, ces alternatives citoyennes, qui rejoignent les analyses de philosophes, sociologues, économistes et scientifiques, pourraient bien être les pionnières du monde de demain. Autant de gestes qui remettent l’homme au cœur du système.